Conservatoire des techniques cinématographiques La Cinémathèque française Nicolas Le Thierry d'Ennequin n.lethierry@cinematheque.fr fr-fr http://www.cinematheque.fr La Cinémathèque française http://itunesu.pasoliniroma.com/thumbs300x300/cat7.png Conservatoire des techniques cinématographiques http://www.cinematheque.fr 144 144 Film no cinemathequefr-video-1 Alice Guy a-t-elle existé ? Conférence de Maurice Gianati La Cinémathèque française Une absence quasi-totale de documents de première main et contemporains sur la présence d'Alice Guy dans la société Léon Gaumont pour les années 1895-1906 a entrainé chez les historiens anciens et modernes qui se sont intéressés à cette pionnière du cinématographe une grande dispersion et confusion dans l'établissement de la chronologie de ses débuts et de sa filmographie. Il était donc nécessaire d'effectuer une relecture critique des écrits et mémoires d'Alice Guy afin de tirer une vision plus resserrée et plus exacte du démarrage de sa carrière de metteur en scène, comme de son œuvre filmique. En parallèle, on parlera de l'évolution technique et industrielle de la maison Gaumont, avec exposition sur scène des rarissimes premiers appareils de la firme (caméra de 1895, projecteur 58 mm de 1896, mutoscope, première caméra 35 mm de 1897...). Collectionneur réputé, Maurice Gianati a été chercheur au C.E.A. (Commissariat à l'Énergie Atomique), il a participé en tant qu'historien et conseiller à des expositions consacrées aux origines du cinématographe, entre autres : Pathé, premier empire du cinéma au Centre Pompidou. Il a collaboré aux revues SEMIA et 1895. Une absence quasi-totale de documents de première main et contemporains sur la présence d'Alice Guy dans la société Léon Gaumont pour les années 1895-1906 a entrainé chez les historiens anciens et modernes qui se sont intéressés à cette pionnière du cinématographe une grande dispersion et confusion dans l'établissement de la chronologie de ses débuts et de sa filmographie. Il était donc nécessaire d'effectuer une relecture critique des écrits et mémoires d'Alice Guy afin de tirer une vision plus resserrée et plus exacte du démarrage de sa carrière de metteur en scène, comme de son œuvre filmique. En parallèle, on parlera de l'évolution technique et industrielle de la maison Gaumont, avec exposition sur scène des rarissimes premiers appareils de la firme (caméra de 1895, projecteur 58 mm de 1896, mutoscope, première caméra 35 mm de 1897...). Collectionneur réputé, Maurice Gianati a été chercheur au C.E.A. (Commissariat à l'Énergie Atomique), il a participé en tant qu'historien et conseiller à des expositions consacrées aux origines du cinématographe, entre autres : Pathé, premier empire du cinéma au Centre Pompidou. Il a collaboré aux revues SEMIA et 1895. Fri, 04 Jun 2010 00:00:00 +0000 157:14 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-2 Le cinéma en relief : la 3D à portée de main. Dialogue avec Lenny Lipton La Cinémathèque française Au début des années 1980, Lenny Lipton fondait la StereoGraphics Corporation. Il est considéré comme le père de la diffusion d'images vidéo en relief. La quarantaine de brevets de stéréoscopie dont il est le détenteur est au cœur de l'actuelle révolution 3D numérique. Au début des années 1980, Lenny Lipton fondait la StereoGraphics Corporation. Il est considéré comme le père de la diffusion d'images vidéo en relief. La quarantaine de brevets de stéréoscopie dont il est le détenteur est au cœur de l'actuelle révolution 3D numérique. Thu, 17 Dec 2009 00:00:00 +0000 92:00 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-3 Babelsberg et les autres studios berlinois des années 1910 aux débuts du parlant. Conférence de Werner Sudendorf La Cinémathèque française Werner Sudendorf est directeur des collections de la Deutsche Kinemathek de Berlin. Il est l'auteur de nombreuses contributions sur le cinéma allemand de l'entre-deux-guerres, sur Marlene Dietrich et le décorateur Erich Kettelhut, notamment. Werner Sudendorf est directeur des collections de la Deutsche Kinemathek de Berlin. Il est l'auteur de nombreuses contributions sur le cinéma allemand de l'entre-deux-guerres, sur Marlene Dietrich et le décorateur Erich Kettelhut, notamment. Thu, 15 Apr 2010 00:00:00 +0000 56:45 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-4 L'histoire du cinéma sonore est-elle seulement technique ? Conférence de Claude Bailblé La Cinémathèque française Depuis le phonautographe de Léon Scott (1857), nombre d'inventions techniques en cascade (microphone, lampe triode, haut-parleur, modulateur optique...) finissent par se rencontrer en un seul dispositif : le cinéma sonore des années 1930. Commence alors l'exploration des possibilités expressives de la monophonie, que d'autres progrès technologiques (l'enregistrement magnétique, la caméra silencieuse, le montage et mixage multipistes) viennent faciliter. L'enregistreur autonome (le Nagra des années 1960) démultiplie ces possibilités en libérant la prise de son des contraintes de l'énergie électrique. On redécouvre le plein air, les acoustiques naturelles et la diversité des sons réels. Avec le numérique et la spatialisation (en 5.1), la mise en scène du sonore connaît un nouveau développement : l'immersion auditive englobante et les effets dynamiques spectaculaires. Ces différentes innovations techniques, en sollicitant l'imagination auditive des cinéastes et des ingénieurs du son, laissent pourtant intacte la question de l'invention artistique, et plus particulièrement celle des nouveaux rapports image-son. Claude Bailblé est enseignant-chercheur, maître de conférences au département Cinéma de l'université de Paris VIII et intervenant dans des écoles professionnelles. Depuis le phonautographe de Léon Scott (1857), nombre d'inventions techniques en cascade (microphone, lampe triode, haut-parleur, modulateur optique...) finissent par se rencontrer en un seul dispositif : le cinéma sonore des années 1930. Commence alors l'exploration des possibilités expressives de la monophonie, que d'autres progrès technologiques (l'enregistrement magnétique, la caméra silencieuse, le montage et mixage multipistes) viennent faciliter. L'enregistreur autonome (le Nagra des années 1960) démultiplie ces possibilités en libérant la prise de son des contraintes de l'énergie électrique. On redécouvre le plein air, les acoustiques naturelles et la diversité des sons réels. Avec le numérique et la spatialisation (en 5.1), la mise en scène du sonore connaît un nouveau développement : l'immersion auditive englobante et les effets dynamiques spectaculaires. Ces différentes innovations techniques, en sollicitant l'imagination auditive des cinéastes et des ingénieurs du son, laissent pourtant intacte la question de l'invention artistique, et plus particulièrement celle des nouveaux rapports image-son. Claude Bailblé est enseignant-chercheur, maître de conférences au département Cinéma de l'université de Paris VIII et intervenant dans des écoles professionnelles. Fri, 03 Dec 2010 00:00:00 +0000 113:31 http://www.cinematheque.fr/fr/fiche-manifestation/,12349.html cinemathequefr-video-5 La caméra bouge. Conférence de Willy Kurant La Cinémathèque française Le 12 mars 2010, Willy Kurant, directeur de la photographie (Godard, Welles, Skolimowski...), donnait une conférence-démonstration sur les mouvements de caméra. Y ont pris part les concepteurs, les fabricants et les loueurs de machinerie, membres associés de l'Association française des directeurs de la photographie cinématographique (A.F.C.), ainsi que l'Association française des cadreurs de fictions (A.F.C.F.). Le 12 mars 2010, Willy Kurant, directeur de la photographie (Godard, Welles, Skolimowski...), donnait une conférence-démonstration sur les mouvements de caméra. Y ont pris part les concepteurs, les fabricants et les loueurs de machinerie, membres associés de l'Association française des directeurs de la photographie cinématographique (A.F.C.), ainsi que l'Association française des cadreurs de fictions (A.F.C.F.). Fri, 12 Mar 2010 00:00:00 +0000 115:27 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-6 La peinture animée depuis Émile Reynaud. Conférence de Dominique Willoughby La Cinémathèque française En 1880 avec son Praxinoscope à projection, Émile Reynaud parvient à coupler la synthèse graphique du mouvement avec la lanterne magique, créant une nouvelle technique de peinture animée lumineuse, distincte des formes antérieures de projection et qui précède le cinéma photographique. Inventeur et artiste accompli, il crée ensuite le jeu expressif des personnages peints et animés dans ses Pantomimes Lumineuses, puis la Photo Peinture animée. De toutes ces inventions on peut retrouver des développements au fil des évolutions du cinéma, des films absolus au dessin animé narratif, en passant par les films coloriés et les hybridations graphiques et photographiques. Cependant la peinture animée en tant que technique "directe" va principalement se développer dans le cinéma expérimental, notamment avec les films de Len Lye et McLaren à partir des années 1930. En 1880 avec son Praxinoscope à projection, Émile Reynaud parvient à coupler la synthèse graphique du mouvement avec la lanterne magique, créant une nouvelle technique de peinture animée lumineuse, distincte des formes antérieures de projection et qui précède le cinéma photographique. Inventeur et artiste accompli, il crée ensuite le jeu expressif des personnages peints et animés dans ses Pantomimes Lumineuses, puis la Photo Peinture animée. De toutes ces inventions on peut retrouver des développements au fil des évolutions du cinéma, des films absolus au dessin animé narratif, en passant par les films coloriés et les hybridations graphiques et photographiques. Cependant la peinture animée en tant que technique "directe" va principalement se développer dans le cinéma expérimental, notamment avec les films de Len Lye et McLaren à partir des années 1930. Tue, 06 Oct 2009 00:00:00 +0000 84:21 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-7 Les plaques de lanterne magique Life Models. Conférence de Laurent Mannoni La Cinémathèque française A partir des années 1870 apparaît en Angleterre un nouveau genre de plaques pour lanterne magique : les "Life Models". Ce sont des plaques photographiques sur verre transparent et rehaussées de couleurs à la main. Les prises de vues ont été réalisées dans des studios vitrés anglais, avec des acteurs et figurants. Chaque série de plaques raconte une histoire, mimée par les comédiens sur fond de toile peinte. Les vues étaient accompagnées de commentaires de musique et, parfois, de chansons. Ces plaques sont importantes pour l'histoire du cinéma, comme le souligne dès 1963 l'historien Olive Cook : il y a non seulement une "mise en scène" avec toile peinte, accessoires, acteurs, mais aussi des différences de plan, des intertitres, des effets de "montage", des flash-back, des ellipses narratives... Après une présentation historique du fonds exceptionnel conservé par la Cinémathèque (quelque 2 300 plaques), on projettera avec une double lanterne magique plusieurs séries originales ; on abordera aussi l'influence de ces plaques sur les premiers pas du cinématographe, en projetant quelques films des années 1900. Laurent Mannoni est le commissaire, avec Donata Pesenti Campagnoni, de l'exposition "Lanterne magique et film peint", et co-auteur du catalogue publié à cette occasion. Il est directeur scientifique du patrimoine de la Cinémathèque française, est l'auteur d'une quinzaine d'ouvrages sur les débuts du cinéma, et a réalisé plusieurs expositions (sur Marey, L'art trompeur, Méliès...). A partir des années 1870 apparaît en Angleterre un nouveau genre de plaques pour lanterne magique : les "Life Models". Ce sont des plaques photographiques sur verre transparent et rehaussées de couleurs à la main. Les prises de vues ont été réalisées dans des studios vitrés anglais, avec des acteurs et figurants. Chaque série de plaques raconte une histoire, mimée par les comédiens sur fond de toile peinte. Les vues étaient accompagnées de commentaires de musique et, parfois, de chansons. Ces plaques sont importantes pour l'histoire du cinéma, comme le souligne dès 1963 l'historien Olive Cook : il y a non seulement une "mise en scène" avec toile peinte, accessoires, acteurs, mais aussi des différences de plan, des intertitres, des effets de "montage", des flash-back, des ellipses narratives... Après une présentation historique du fonds exceptionnel conservé par la Cinémathèque (quelque 2 300 plaques), on projettera avec une double lanterne magique plusieurs séries originales ; on abordera aussi l'influence de ces plaques sur les premiers pas du cinématographe, en projetant quelques films des années 1900. Laurent Mannoni est le commissaire, avec Donata Pesenti Campagnoni, de l'exposition "Lanterne magique et film peint", et co-auteur du catalogue publié à cette occasion. Il est directeur scientifique du patrimoine de la Cinémathèque française, est l'auteur d'une quinzaine d'ouvrages sur les débuts du cinéma, et a réalisé plusieurs expositions (sur Marey, L'art trompeur, Méliès...). Fri, 06 Nov 2009 00:00:00 +0000 93:05 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-8 Les premiers systèmes sonores. Conférence Jean-Pierre Verscheure La Cinémathèque française L'histoire du cinéma sonore débute véritablement avec les premiers films dialogués qui marquent une transformation fondamentale du langage filmique. Une nouvelle forme de narration naît avec Le Chanteur de Jazz, et d'une manière plus significative encore avec L'Ange bleu ou Lights of New-York. A partir des équipements Vitaphone de la Western Electric de 1927 (le projecteur à disque, le premier haut-parleur de l'histoire du cinéma), jusqu'au système RCA Photophone mis au point pour Orson Welles en 1940, les sons du cinéma parlant seront présentés et diffusés dans leur forme originelle lors de cette conférence, ce qui permettra une comparaison inédite et spectaculaire des différents systèmes. Des premiers balbutiements des années Vingt à la Seconde Guerre mondiale, nous retracerons à travers ces projections la révolution sonore des techniques, ses implications pour l'industrie du cinéma et l'évolution des standards qui découlèrent de ces nouveaux procédés. Des appareils anciens et rarissimes seront exposés. Jean-Pierre Verscheure est professeur à l'Institut National Supérieur des Arts du Spectacle (INSAS) de Bruxelles. Collectionneur d'appareils cinématographiques, il est à l'origine d'un centre d'études sur les techniques cinématographiques, Cinévolution, dans lequel plus d'une quarantaine d'installations sonores ou visuelles d'époque ont pu être restituées permettant de présenter les films dans leurs conditions de projection d'origine. L'histoire du cinéma sonore débute véritablement avec les premiers films dialogués qui marquent une transformation fondamentale du langage filmique. Une nouvelle forme de narration naît avec Le Chanteur de Jazz, et d'une manière plus significative encore avec L'Ange bleu ou Lights of New-York. A partir des équipements Vitaphone de la Western Electric de 1927 (le projecteur à disque, le premier haut-parleur de l'histoire du cinéma), jusqu'au système RCA Photophone mis au point pour Orson Welles en 1940, les sons du cinéma parlant seront présentés et diffusés dans leur forme originelle lors de cette conférence, ce qui permettra une comparaison inédite et spectaculaire des différents systèmes. Des premiers balbutiements des années Vingt à la Seconde Guerre mondiale, nous retracerons à travers ces projections la révolution sonore des techniques, ses implications pour l'industrie du cinéma et l'évolution des standards qui découlèrent de ces nouveaux procédés. Des appareils anciens et rarissimes seront exposés. Jean-Pierre Verscheure est professeur à l'Institut National Supérieur des Arts du Spectacle (INSAS) de Bruxelles. Collectionneur d'appareils cinématographiques, il est à l'origine d'un centre d'études sur les techniques cinématographiques, Cinévolution, dans lequel plus d'une quarantaine d'installations sonores ou visuelles d'époque ont pu être restituées permettant de présenter les films dans leurs conditions de projection d'origine. Fri, 12 Nov 2010 00:00:00 +0000 107:08 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-9 Naissance de l'industrie phonographique française. Conférence d'Henri Chamoux La Cinémathèque française Si l'histoire du cinéma fait l'objet de nombreuses études, il existe en revanche fort peu de travaux sur les débuts de la musique industrielle. La production massive du son enregistré à des fins de divertissement domestique avant 1914 ressemble à un mythe, tant sont devenues rares et fragiles les sources permettant d'écrire cette histoire. Gravure, pantographie, moulage, galvanoplastie : présentation d'un panorama des techniques de reproduction des disques et cylindres à la Belle Époque, avec quelques remarques sur les questions juridiques qui se posent alors. Puis, un aperçu des contenus et des répertoires enregistrés, ce qui permettra de présenter les possibilités et les contraintes techniques des premiers studios d'enregistrement. Des cylindres phonographiques d'époque seront lus directement au moyen de l'Archéophone. Si l'histoire du cinéma fait l'objet de nombreuses études, il existe en revanche fort peu de travaux sur les débuts de la musique industrielle. La production massive du son enregistré à des fins de divertissement domestique avant 1914 ressemble à un mythe, tant sont devenues rares et fragiles les sources permettant d'écrire cette histoire. Gravure, pantographie, moulage, galvanoplastie : présentation d'un panorama des techniques de reproduction des disques et cylindres à la Belle Époque, avec quelques remarques sur les questions juridiques qui se posent alors. Puis, un aperçu des contenus et des répertoires enregistrés, ce qui permettra de présenter les possibilités et les contraintes techniques des premiers studios d'enregistrement. Des cylindres phonographiques d'époque seront lus directement au moyen de l'Archéophone. Fri, 14 Jan 2011 00:00:00 +0000 134:00 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-10 Robertson le fantasmagore. Conférence de Jérôme Prieur La Cinémathèque française Au détour du Père-Lachaise, se dresse le mausolée d'Étienne-Gaspard Robertson né à Liège le 15 juin 1763 et mort aux Batignolles le 2 juillet 1837. Physicien renommé en son temps et jusqu'à Saint-Pétersbourg pour ses ascensions aérostatiques et les séances de fantasmagories qu'il donnait à la fin du Directoire, au couvent des Capucines, Robertson avait inventé l'art de la nuit, la projection lumineuse, le cinématographe. Au détour du Père-Lachaise, se dresse le mausolée d'Étienne-Gaspard Robertson né à Liège le 15 juin 1763 et mort aux Batignolles le 2 juillet 1837. Physicien renommé en son temps et jusqu'à Saint-Pétersbourg pour ses ascensions aérostatiques et les séances de fantasmagories qu'il donnait à la fin du Directoire, au couvent des Capucines, Robertson avait inventé l'art de la nuit, la projection lumineuse, le cinématographe. Fri, 05 Feb 2010 00:00:00 +0000 71:00 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-183 Pour une histoire de Metropolis. Conférence de Werner Sudendorf La Cinémathèque française Il n'existe guère de film allemand sur lequel on ait écrit autant de livres, essais et articles ; et aucun film n'a été montré en autant de versions différentes que Metropolis de Fritz Lang. Dans sa conférence, Werner Sudendorf retrace l'histoire de sa naissance, établit des liens avec les autres films de Lang, en explique les innombrables trucages et dévoile les raisons qui poussèrent la UFA à laisser le film échouer à sa sortie. Il n'existe guère de film allemand sur lequel on ait écrit autant de livres, essais et articles ; et aucun film n'a été montré en autant de versions différentes que Metropolis de Fritz Lang. Dans sa conférence, Werner Sudendorf retrace l'histoire de sa naissance, établit des liens avec les autres films de Lang, en explique les innombrables trucages et dévoile les raisons qui poussèrent la UFA à laisser le film échouer à sa sortie. Fri, 18 Nov 2011 00:00:00 +0000 92:06 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-187 Méliès technnicien : la première caméra et le premier projecteur de Méliès. Conférence de Laurent Mannoni La Cinémathèque française Dans le cadre de la journée d'étude consacrée à Georges Méliès, Laurent Mannoni intervient sur les débuts de Méliès en technique cinématographique : le magicien de Montreuil a assisté, émerveillé, aux premières séances du Cinématographe Lumière, mais il n'a pu acquérir d'appareil. Il se rend alors à Londres et achète un projecteur Robert-William Paul qu'il transforme en caméra. C'est avec cet instrument qu'il découvre son premier trucage, l'arrêt de la pellicule. Comme Méliès a impérativement besoin d'un projecteur afin d'organiser des séances dans son théâtre Robert-Houdin, il conçoit ensuite, avec quelques associés, un excellent appareil 35 mm, le « kinétographe ». Ces deux machines historiques sont conservées à la Cinémathèque française et sont montrées lors de cet exposé. Dans le cadre de la journée d'étude consacrée à Georges Méliès, Laurent Mannoni intervient sur les débuts de Méliès en technique cinématographique : le magicien de Montreuil a assisté, émerveillé, aux premières séances du Cinématographe Lumière, mais il n'a pu acquérir d'appareil. Il se rend alors à Londres et achète un projecteur Robert-William Paul qu'il transforme en caméra. C'est avec cet instrument qu'il découvre son premier trucage, l'arrêt de la pellicule. Comme Méliès a impérativement besoin d'un projecteur afin d'organiser des séances dans son théâtre Robert-Houdin, il conçoit ensuite, avec quelques associés, un excellent appareil 35 mm, le « kinétographe ». Ces deux machines historiques sont conservées à la Cinémathèque française et sont montrées lors de cet exposé. Thu, 08 Dec 2011 00:00:00 +0000 52:00 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-189 Méliès technnicien : le premier studio de Méliès. Conférence de Jacques Malthête La Cinémathèque française Jacques Malthête parle du studio Méliès de Montreuil, dont on sait qu'il fut le premier bâtiment vitré d'envergure bâti pour le cinématographe. Trappes, coulisses, cintre, scène, décors mobiles, verres tamisés, volets réglables, lumière électrique, tout était prévu pour que Méliès puisse exercer son art du trucage. Méliès, ruiné, devra abandonner son studio. La propriété de Montreuil est vendue en 1923. Après guerre, malgré les efforts de la Cinémathèque pour sauver le bâtiment, tout a disparu, excepté le magasin de costumes qui ne sera rasé qu'au début des années 1990, par ignorance ou par désintérêt. Jacques Malthête parle du studio Méliès de Montreuil, dont on sait qu'il fut le premier bâtiment vitré d'envergure bâti pour le cinématographe. Trappes, coulisses, cintre, scène, décors mobiles, verres tamisés, volets réglables, lumière électrique, tout était prévu pour que Méliès puisse exercer son art du trucage. Méliès, ruiné, devra abandonner son studio. La propriété de Montreuil est vendue en 1923. Après guerre, malgré les efforts de la Cinémathèque pour sauver le bâtiment, tout a disparu, excepté le magasin de costumes qui ne sera rasé qu'au début des années 1990, par ignorance ou par désintérêt. Thu, 08 Dec 2011 00:00:00 +0000 31:58 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-190 Le procédé support de caméra Steadicam. Conférence de Noël Very avec la participation de Pierre-William Glenn La Cinémathèque française Un support de caméra exceptionnel est présenté au musée Guimet à Paris en 1976 : le procédé « Steadicam », stabilisateur de caméra portée, inventé par l'Américain Garrett Brown. Jeune caméraman, Noël Véry s'intéresse alors immédiatement à cette machine, y voyant, avec raison, un grand avenir. Quelques années plus tard, le steadicam s'impose grâce à quelques films phare, en particulier Shining de Stanley Kubrick. Cette conférence décrit la découverte du steadicam, ses origines, l'histoire du premier exemplaire, son utilisation et son évolution. Noël Véry témoigne de sa propre expérience de cadreur sur les tournages de Subway, Valmont ou Carmen. Des démonstrations de steadicam sont réalisées sur scène à l'aide d'un modèle des plus récents. Un support de caméra exceptionnel est présenté au musée Guimet à Paris en 1976 : le procédé « Steadicam », stabilisateur de caméra portée, inventé par l'Américain Garrett Brown. Jeune caméraman, Noël Véry s'intéresse alors immédiatement à cette machine, y voyant, avec raison, un grand avenir. Quelques années plus tard, le steadicam s'impose grâce à quelques films phare, en particulier Shining de Stanley Kubrick. Cette conférence décrit la découverte du steadicam, ses origines, l'histoire du premier exemplaire, son utilisation et son évolution. Noël Véry témoigne de sa propre expérience de cadreur sur les tournages de Subway, Valmont ou Carmen. Des démonstrations de steadicam sont réalisées sur scène à l'aide d'un modèle des plus récents. Fri, 03 Feb 2012 00:00:00 +0000 95:41 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-200 Motion capture, performance capture, effets spéciaux : des origines à Tim Burton. Conférence de Gilles Penso La Cinémathèque française Des premiers personnages numériques imaginés dans les années 1980 pour Tron et Le Secret de la pyramide jusqu'aux acteurs virtuels criants de vérité s'animant dans Avatar, la dernière Planète des singes et le Tintin de Steven Spielberg, les magiciens des effets spéciaux n'ont cessé de redoubler d'inventivité pour relever les défis technologiques les plus incroyables. A l'heure où la motion capture et la performance capture s'immiscent de plus en plus dans le paysage cinématographique, le 7ème art n'est-il pas en train de vivre une irrémédiable révolution ? À moins qu'une nouvelle forme d'expression parallèle, à mi-chemin entre film d'animation et film traditionnel, ne soit en train d'émerger ? Des premiers personnages numériques imaginés dans les années 1980 pour Tron et Le Secret de la pyramide jusqu'aux acteurs virtuels criants de vérité s'animant dans Avatar, la dernière Planète des singes et le Tintin de Steven Spielberg, les magiciens des effets spéciaux n'ont cessé de redoubler d'inventivité pour relever les défis technologiques les plus incroyables. A l'heure où la motion capture et la performance capture s'immiscent de plus en plus dans le paysage cinématographique, le 7ème art n'est-il pas en train de vivre une irrémédiable révolution ? À moins qu'une nouvelle forme d'expression parallèle, à mi-chemin entre film d'animation et film traditionnel, ne soit en train d'émerger ? Fri, 16 Mar 2012 00:00:00 +0000 62:47 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-225 L'animation japonaise des origines à nos jours. Conférence de Brigitte Koyama-Richard La Cinémathèque française Le Japon a vu se développer très tôt différents genres picturaux que l'on peut considérer comme les prémices de l'animation. Brigitte Koyama, l'une des meilleures spécialistes du sujet, présente d'abord les similitudes entre les rouleaux peints et l'animation contemporaine. Elle explique ensuite la façon dont les Japonais ont créé l'illusion du mouvement dans les estampes xylographiques. Une large place est accordée aux lanternes magiques japonaises Utsushi-e : très populaires, elles disparurent peu après la naissance du cinématographe. Dans une seconde partie, Brigitte Koyama parle des pionniers de l'animation japonaise, quels genres de films furent produits, quelles étaient les techniques utilisées, les principales sociétés d'animation et leurs films cultes. Le Japon a vu se développer très tôt différents genres picturaux que l'on peut considérer comme les prémices de l'animation. Brigitte Koyama, l'une des meilleures spécialistes du sujet, présente d'abord les similitudes entre les rouleaux peints et l'animation contemporaine. Elle explique ensuite la façon dont les Japonais ont créé l'illusion du mouvement dans les estampes xylographiques. Une large place est accordée aux lanternes magiques japonaises Utsushi-e : très populaires, elles disparurent peu après la naissance du cinématographe. Dans une seconde partie, Brigitte Koyama parle des pionniers de l'animation japonaise, quels genres de films furent produits, quelles étaient les techniques utilisées, les principales sociétés d'animation et leurs films cultes. Fri, 06 Apr 2012 00:00:00 +0000 98:17 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-240 Un anniversaire : le Pathé-Baby et le format 9,5 mm (1922). Conférence d'Anne Gourdet-Mares La Cinémathèque française En proposant en décembre 1922 un petit projecteur d'utilisation simple et de forme séduisante, le Pathé-Baby, et un an plus tard sa caméra, Pathé-Cinéma réussit à imposer le 9,5 mm comme le format amateur en France. Le succès est immédiat et dépasse les frontières, installant définitivement le cinéma dans les foyers, comblant cinéphiles en herbe et apprentis cinéastes (Jacques Demy en sera un exemple célèbre). À partir de leur modèle originel, projecteurs et caméras se modernisent, s'accessoirisent, se déclinent afin de plaire à un public toujours plus large et exigeant. Pendant près de 60 ans, le 9,5 mm coexiste avec les autres formats substandards et résiste (en devenant sonore en 1937, le « Pathé Vox », et avec son propre format panoramique en 1955, le « Duplex ») avant de presque disparaître dans les années 1980. En proposant en décembre 1922 un petit projecteur d'utilisation simple et de forme séduisante, le Pathé-Baby, et un an plus tard sa caméra, Pathé-Cinéma réussit à imposer le 9,5 mm comme le format amateur en France. Le succès est immédiat et dépasse les frontières, installant définitivement le cinéma dans les foyers, comblant cinéphiles en herbe et apprentis cinéastes (Jacques Demy en sera un exemple célèbre). À partir de leur modèle originel, projecteurs et caméras se modernisent, s'accessoirisent, se déclinent afin de plaire à un public toujours plus large et exigeant. Pendant près de 60 ans, le 9,5 mm coexiste avec les autres formats substandards et résiste (en devenant sonore en 1937, le « Pathé Vox », et avec son propre format panoramique en 1955, le « Duplex ») avant de presque disparaître dans les années 1980. Fri, 09 Nov 2012 00:00:00 +0000 141:55 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-241 Microcosmos : filmer l'invisible, macrocinématographie de la nature. Conférence de Claude Nuridsany et Marie Pérennou La Cinémathèque française Claude Nuridsany et Marie Pérennou ont su créer un univers cinématographique unique en rapport avec la nature : « Lorsqu'est né en nous le désir de faire des films avec les animaux, loin d'une démarche documentariste ou naturaliste, il s'agissait de trouver une écriture et des moyens techniques pour élaborer un récit qui plongerait le spectateur au cœur d'un autre monde, faisant de lui un insecte parmi les insectes, redécouvrant les brins d'herbes comme une forêt inextricable. Mettre en scène l'espace et la lumière, transformer l'univers miniature des insectes en paysages, faire sentir leur quotidien tout en respectant leur mystère, c'est ce que nous avons appelé "conte naturel". Ni documentaire, ni fiction mais évocation d'une autre réalité, qui nous invite plus à "rêver" le monde des animaux qu'à le concevoir rationnellement. Cela nous a amené à développer des outils bien spécifiques ainsi qu'une manière de travailler étonnamment proche de la fiction bien que nos "personnages" soient des animaux sauvages, par nature incontrôlables... » Claude Nuridsany et Marie Pérennou ont su créer un univers cinématographique unique en rapport avec la nature : « Lorsqu'est né en nous le désir de faire des films avec les animaux, loin d'une démarche documentariste ou naturaliste, il s'agissait de trouver une écriture et des moyens techniques pour élaborer un récit qui plongerait le spectateur au cœur d'un autre monde, faisant de lui un insecte parmi les insectes, redécouvrant les brins d'herbes comme une forêt inextricable. Mettre en scène l'espace et la lumière, transformer l'univers miniature des insectes en paysages, faire sentir leur quotidien tout en respectant leur mystère, c'est ce que nous avons appelé "conte naturel". Ni documentaire, ni fiction mais évocation d'une autre réalité, qui nous invite plus à "rêver" le monde des animaux qu'à le concevoir rationnellement. Cela nous a amené à développer des outils bien spécifiques ainsi qu'une manière de travailler étonnamment proche de la fiction bien que nos "personnages" soient des animaux sauvages, par nature incontrôlables... » Fri, 11 Jan 2013 00:00:00 +0000 112:40 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-257 Projections et colportages : la lanterne magique au XVIIIe siècle. Conférence de Roger Gonin La Cinémathèque française Il y a quelques années, Roger Gonin découvrait en Auvergne un objet d'une rareté exceptionnelle : une lanterne magique de colporteur, avec dix plaques de verre peintes à la main. Certaines des plaques conservées, simples ou à système, peintes avec grande minutie, représentent des images de propagande pour Napoléon Bonaparte pendant le Consulat. D'autres résistent à une identification précise. Comme dans une véritable enquête policière, Roger Gonin est parti à la recherche des origines de cette machine. Comment se déroulait une séance de projection avec cet appareil ? Comment comprendre cette iconographie ? Qui était le colporteur de cette lanterne magique ? L'appareil de colporteur sera présenté et une lanterne magique ancienne permettra de projeter de rarissimes et splendides images de la fin du XVIIIe siècle et des débuts du XIXe siècle. Il y a quelques années, Roger Gonin découvrait en Auvergne un objet d'une rareté exceptionnelle : une lanterne magique de colporteur, avec dix plaques de verre peintes à la main. Certaines des plaques conservées, simples ou à système, peintes avec grande minutie, représentent des images de propagande pour Napoléon Bonaparte pendant le Consulat. D'autres résistent à une identification précise. Comme dans une véritable enquête policière, Roger Gonin est parti à la recherche des origines de cette machine. Comment se déroulait une séance de projection avec cet appareil ? Comment comprendre cette iconographie ? Qui était le colporteur de cette lanterne magique ? L'appareil de colporteur sera présenté et une lanterne magique ancienne permettra de projeter de rarissimes et splendides images de la fin du XVIIIe siècle et des débuts du XIXe siècle. Fri, 17 May 2013 00:00:00 +0000 96:42 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-279 Les inventions techniques d'Abel Gance : mythe ou réalité ? Conférence de Georges Mourier La Cinémathèque française Abel Gance est un des très rares réalisateurs de l'histoire du cinéma à avoir directement inventé et créé les outils nécessaires à la matérialisation de ses visions. Cette conférence se propose d'éclairer d'un jour nouveau cet aspect technique et artistique méconnu de l'œuvre de Gance. Abel Gance est un des très rares réalisateurs de l'histoire du cinéma à avoir directement inventé et créé les outils nécessaires à la matérialisation de ses visions. Cette conférence se propose d'éclairer d'un jour nouveau cet aspect technique et artistique méconnu de l'œuvre de Gance. Fri, 15 Nov 2013 00:00:00 +0000 138:07 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-280 L'évolution du métier de scripte. Conférence de Sylvette Baudrot et Zoé Zurstrassen La Cinémathèque française Les dénominations varient selon les pays pour désigner ce métier : « secrétaire de plateau » en France, puis « script-girl » et « scripte », « script supervisor » aux États-Unis, « continuity boy / girl » en Grande-Bretagne... Le ou la scripte est en tout cas responsable du pré-minutage et de la continuité du film : il s'agit de rappeler continuellement où s'inscrit la séquence que l'on tourne, ce qui la précède et ce qui la suit. Les dénominations varient selon les pays pour désigner ce métier : « secrétaire de plateau » en France, puis « script-girl » et « scripte », « script supervisor » aux États-Unis, « continuity boy / girl » en Grande-Bretagne... Le ou la scripte est en tout cas responsable du pré-minutage et de la continuité du film : il s'agit de rappeler continuellement où s'inscrit la séquence que l'on tourne, ce qui la précède et ce qui la suit. Fri, 08 Feb 2013 00:00:00 +0000 136:31 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-286 Les Mille chemins du temps : autour de Jean-Pierre Beauviala et Aaton. Rencontre avec Philippe Vandendriessche et Jean-Pierre Beauviala La Cinémathèque française À la suite de la projection du film Les Mille chemins du temps consacré à Jean-Pierre Beauviala, inventeur et constructeur des caméras Aaton, le réalisateur discute avec celui-ci. À la suite de la projection du film Les Mille chemins du temps consacré à Jean-Pierre Beauviala, inventeur et constructeur des caméras Aaton, le réalisateur discute avec celui-ci. Fri, 14 Mar 2014 00:00:00 +0000 83:42 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-293 Les débuts du cinéma en couleur (1/5) : Pour une histoire du film trichrome. Conférence de Céline Ruivo La Cinémathèque française Fri, 06 Dec 2013 00:00:00 +0000 39:33 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-294 Les débuts du cinéma en couleur (2/5) : À la recherche des couleurs perdues. Conférence de François Ede La Cinémathèque française Fri, 06 Dec 2013 00:00:00 +0000 30:01 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-295 Les débuts du cinéma en couleur (3/5) : Les films peints à la main : ce que restaurer veut dire. Conférence de Jacques Malthête La Cinémathèque française Fri, 06 Dec 2013 00:00:00 +0000 26:02 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-296 Les débuts du cinéma en couleur (4/5) : Les couleurs des films muets : teintes, grains et rendu numérique. Conférence d'Ulrich Ruedel La Cinémathèque française Fri, 06 Dec 2013 00:00:00 +0000 19:52 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-297 Les débuts du cinéma en couleur (5/5) : De la main à la machine : les couleurs au pochoir dans le cinéma de premiers temps. Conférence de Joshua Yumibe La Cinémathèque française Conférence en anglais. Conférence en anglais. Fri, 06 Dec 2013 00:00:00 +0000 23:47 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-319 Une histoire du format 70 mm. Conférence de Jean-Pierre Verscheure La Cinémathèque française Conférence de Jean-Pierre Verscheure. Le 70 mm représente sans nul doute le plus bel héritage de toute l'histoire du cinéma argentique. C'est le plus beau de tous les formats de pellicule et son histoire remonte aux origines des premiers temps du cinéma. Les multiples variantes qui ont jalonné son histoire (formats d'image, systèmes sonores) ne facilitent pas le travail des restaurateurs et historiens. Cette conférence a pour objectif de retracer l'histoire de ce format. Conférence de Jean-Pierre Verscheure. Le 70 mm représente sans nul doute le plus bel héritage de toute l'histoire du cinéma argentique. C'est le plus beau de tous les formats de pellicule et son histoire remonte aux origines des premiers temps du cinéma. Les multiples variantes qui ont jalonné son histoire (formats d'image, systèmes sonores) ne facilitent pas le travail des restaurateurs et historiens. Cette conférence a pour objectif de retracer l'histoire de ce format. Fri, 13 Jun 2014 00:00:00 +0000 144:03 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-332 Truffaut technicien ? Conférence de Bernard Benoliel et Laurent Mannoni La Cinémathèque française Alors que certains réalisateurs issus de la Nouvelle Vague ont développé une relation parfois passionnelle avec la technique (Godard en est l'exemple le plus fameux), qu'en est-il de Truffaut ? Quel a été son rapport à la lumière, à la prise de vues, au montage ? Alors que certains réalisateurs issus de la Nouvelle Vague ont développé une relation parfois passionnelle avec la technique (Godard en est l'exemple le plus fameux), qu'en est-il de Truffaut ? Quel a été son rapport à la lumière, à la prise de vues, au montage ? Thu, 06 Nov 2014 00:00:00 +0000 105:57 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-347 Profession : chef décorateur. Conférence de Jacques Ayroles et Françoise Lémerige La Cinémathèque française La collection des dessins de la Cinémathèque française est l'une des plus riches au monde, avec ses fonds de décorateurs russes (Ivan Lochakoff, Paul Minime, Boris Bilinsky), allemands (Hermann Warm, Emil Hasler, Rochus Gliese, Erich Kettelhut) et bien sûr français (Lazare Meerson, Alexandre Trauner, André Andrejew, Max Douy, Serge Pimenoff, René Renoux, Léon Barsacq). Les maquettes de décors peuvent être également des maquettes en trois dimensions, « petits théâtres » signés Jacques Saulnier ou Pierre Guffroy. Parmi la nouvelle génération, Jean-Marc Kerdelhué, Thierry Flamand, Jean Rabasse, Anne Seibel perpétuent la tradition des « architectes du rêve ». La collection des dessins de la Cinémathèque française est l'une des plus riches au monde, avec ses fonds de décorateurs russes (Ivan Lochakoff, Paul Minime, Boris Bilinsky), allemands (Hermann Warm, Emil Hasler, Rochus Gliese, Erich Kettelhut) et bien sûr français (Lazare Meerson, Alexandre Trauner, André Andrejew, Max Douy, Serge Pimenoff, René Renoux, Léon Barsacq). Les maquettes de décors peuvent être également des maquettes en trois dimensions, « petits théâtres » signés Jacques Saulnier ou Pierre Guffroy. Parmi la nouvelle génération, Jean-Marc Kerdelhué, Thierry Flamand, Jean Rabasse, Anne Seibel perpétuent la tradition des « architectes du rêve ». Fri, 05 Dec 2014 00:00:00 +0000 131:52 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-350 Du Free Cinema à la British New Wave : un moment-clé du cinéma britannique. Conférence de Christophe Dupin et Walter Lassally La Cinémathèque française De tous les mouvements de renouveau du cinéma ayant émergé à la fin des années 1950 et 1960, le Free Cinema (et, par extension, la Nouvelle Vague britannique) n'est peut-être pas le plus connu, mais garde le bénéfice de l'antériorité. Dès février 1956, un petit groupe de jeunes réalisateurs et techniciens emmenés par Lindsay Anderson propose une vision nouvelle de la technique et du métier de cinéaste. Leurs films – des courts métrages documentaires jusqu'en 1959, des longs métrages de fiction ensuite – mettent en scène le quotidien des petites gens, qu'ils filment avec un regard humain et poétique. Christophe Dupin, historien du cinéma, examine les origines et l'évolution de ce mouvement, ainsi que ses méthodes de production et son esthétique propre, définie à la fois par l'engagement social et les moyens techniques. Walter Lassally, l'un des chefs opérateurs attitrés du Free Cinema, en analyse plus particulièrement les apports techniques, notamment l'utilisation de caméras légères portées et d'une pellicule ultra-sensible (la fameuse Ilford HPS). De tous les mouvements de renouveau du cinéma ayant émergé à la fin des années 1950 et 1960, le Free Cinema (et, par extension, la Nouvelle Vague britannique) n'est peut-être pas le plus connu, mais garde le bénéfice de l'antériorité. Dès février 1956, un petit groupe de jeunes réalisateurs et techniciens emmenés par Lindsay Anderson propose une vision nouvelle de la technique et du métier de cinéaste. Leurs films – des courts métrages documentaires jusqu'en 1959, des longs métrages de fiction ensuite – mettent en scène le quotidien des petites gens, qu'ils filment avec un regard humain et poétique. Christophe Dupin, historien du cinéma, examine les origines et l'évolution de ce mouvement, ainsi que ses méthodes de production et son esthétique propre, définie à la fois par l'engagement social et les moyens techniques. Walter Lassally, l'un des chefs opérateurs attitrés du Free Cinema, en analyse plus particulièrement les apports techniques, notamment l'utilisation de caméras légères portées et d'une pellicule ultra-sensible (la fameuse Ilford HPS). Mon, 29 Jun 2015 00:00:00 +0000 139:54 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-364 La scripte, mémoire du film. Conférence de Lauren Benoît et Joël Daire La Cinémathèque française Conférence de Joël Daire et Lauren Benoît donnée à l'occasion de l'exposition Le métier de scripte à la Cinémathèque française. Conférence de Joël Daire et Lauren Benoît donnée à l'occasion de l'exposition Le métier de scripte à la Cinémathèque française. Fri, 02 Oct 2015 00:00:00 +0000 104:26 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-365 Autour du métier de scripte. Table ronde La Cinémathèque française Table ronde avec Laurence Couturier (scripte), Sylvie Gadmer (monteuse), Charles Jodoin-Keaton (scripte), Bénédicte de Kermadec (scripte), Aurore Moutier (scripte) et Marie-Florence Roncayolo (scripte et documentaliste audiovisuelle), animée par Joël Daire et Lauren Benoît. Table ronde avec Laurence Couturier (scripte), Sylvie Gadmer (monteuse), Charles Jodoin-Keaton (scripte), Bénédicte de Kermadec (scripte), Aurore Moutier (scripte) et Marie-Florence Roncayolo (scripte et documentaliste audiovisuelle), animée par Joël Daire et Lauren Benoît. Fri, 02 Oct 2015 00:00:00 +0000 84:56 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-377 Technicolor et les débuts de la couleur : le Kinemacolor (1906-1915). Conférence de Benoît Turquety La Cinémathèque française Fri, 05 Feb 2016 00:00:00 +0000 38:57 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-378 Technicolor et les débuts de la couleur : la caméra Technicolor. Conférence de Laurent Mannoni La Cinémathèque française Fri, 05 Feb 2016 00:00:00 +0000 20:58 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-379 Technicolor et les débuts de la couleur : les studios et le Technicolor. Conférence de Céline Ruivo La Cinémathèque française Fri, 05 Feb 2016 00:00:00 +0000 50:19 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-380 Technicolor et les débuts de la couleur : le Technicolor et les procédés anamorphiques. Conférence de Jean-Pierre Verscheure La Cinémathèque française Fri, 05 Feb 2016 00:00:00 +0000 59:55 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-387 Derrière le miroir, trucages, jeux d'optique et effets d'étrangeté dans les films de Raoul Ruiz. Conférence d'Élodie Boin-Zanchi et François Ède La Cinémathèque française Les expérimentations techniques sont au cœur de nombreux films de Raoul Ruiz, car il aimait faire des jeux d'images comme on fait des jeux de mots. Nombre de ses films ont été tournés avec des budgets souvent dérisoires, parfois avec des chutes de pellicule, une caméra prêtée et le concours bénévole d'amis acteurs et techniciens. Sur le plan technique, cette utilisation des trucages directs correspond à une méthode que Ruiz ne cessera d'explorer. Les expérimentations techniques sont au cœur de nombreux films de Raoul Ruiz, car il aimait faire des jeux d'images comme on fait des jeux de mots. Nombre de ses films ont été tournés avec des budgets souvent dérisoires, parfois avec des chutes de pellicule, une caméra prêtée et le concours bénévole d'amis acteurs et techniciens. Sur le plan technique, cette utilisation des trucages directs correspond à une méthode que Ruiz ne cessera d'explorer. Fri, 06 May 2016 00:00:00 +0000 136:05 http://www.cinematheque.fr/