Federico Fellini La Cinémathèque française Nicolas Le Thierry d'Ennequin n.lethierry@cinematheque.fr fr-fr Federico Fellini est non seulement l'un des plus importants cinéastes italiens, mais également l'un des plus grands artistes de l'histoire du cinéma mondial. Ses films explorent la dimension baroque et onirique de la vie elle-même. http://www.cinematheque.fr La Cinémathèque française http://itunesu.pasoliniroma.com/thumbs300x300/cycle236.png Federico Fellini http://www.cinematheque.fr 144 144 Film no cinemathequefr-video-69 Federico Fellini et les Vitelloni : Forever Young. Conférence de Sergio Toffetti La Cinémathèque française Federico Fellini, pendant toute sa carrière, a raconté des histoires pour contourner le thème de la maturité, ce temps où l'âge adulte devient une sorte de centre vide, une ligne de démarcation indéfinie et indéfinissable entre une jeunesse éternellement mélancolique, et une vieillesse sombrement nostalgique. Federico Fellini, pendant toute sa carrière, a raconté des histoires pour contourner le thème de la maturité, ce temps où l'âge adulte devient une sorte de centre vide, une ligne de démarcation indéfinie et indéfinissable entre une jeunesse éternellement mélancolique, et une vieillesse sombrement nostalgique. Mon, 12 Oct 2009 00:00:00 +0000 60:41 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-70 La Strada de Fellini ou le temps de l'effroi. Conférence de Serge Toubiana La Cinémathèque française "Enfant, mes parents m'ont emmené voir La Strada au cinéma. Je devais avoir cinq ou six ans. J'en ai alors conçu une véritable aversion pour ce film : peur, angoisse, refus de voir le monde (forain) tel que le représentait Federico Fellini. Ayant grandi depuis, il est temps pour moi de revenir sur ce film, et sur cet épisode assez flou de ma cinéphilie en herbe, pour voir les choses avec davantage de sérénité. Cette rétrospective complète de l'œuvre de Fellini m'en donne enfin l'occasion." - Serge Toubiana "Enfant, mes parents m'ont emmené voir La Strada au cinéma. Je devais avoir cinq ou six ans. J'en ai alors conçu une véritable aversion pour ce film : peur, angoisse, refus de voir le monde (forain) tel que le représentait Federico Fellini. Ayant grandi depuis, il est temps pour moi de revenir sur ce film, et sur cet épisode assez flou de ma cinéphilie en herbe, pour voir les choses avec davantage de sérénité. Cette rétrospective complète de l'œuvre de Fellini m'en donne enfin l'occasion." - Serge Toubiana Tue, 17 Nov 2009 00:00:00 +0000 57:47 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-71 Je me souviens de Federico Fellini. Table ronde La Cinémathèque française Rencontre avec Anouk Aimée, Claudia Cardinale, Magali Noël, Vittorio Boarini (directeur de la Fondation Fellini, Rimini), Serge July et Sam Stourdzé (commissaire de l'exposition "Fellini, la Grande Parade" au Jeu de Paume), animée par Serge Toubiana. Rencontre avec Anouk Aimée, Claudia Cardinale, Magali Noël, Vittorio Boarini (directeur de la Fondation Fellini, Rimini), Serge July et Sam Stourdzé (commissaire de l'exposition "Fellini, la Grande Parade" au Jeu de Paume), animée par Serge Toubiana. Mon, 16 Nov 2009 00:00:00 +0000 58:20 http://www.cinematheque.fr/ cinemathequefr-video-150 Fellini ou la fabrique de l'image. Conférence de Sam Stourdzé La Cinémathèque française Montrer le cinéma en train de se faire, c'est la garantie d'une authenticité plus forte que le cinéma lui-même. Comme si le dispositif comptait tout autant que le résultat, qu'il fallait, non pas montrer le champ et le hors champ, mais l'image et la fabrique de l'image. Comme si le cinéma n'était qu'une illusion, et qu'en montrant le cinéma en train de se faire, on pouvait espérer devancer l'illusion... Dans un de ses rêves de 1980, Fellini avouait, face à la projection de l'image d'une femme : "Ces images sont plus vraies que la vérité elle-même !". Retour sur la fabrique et la circulation des images selon Fellini. Montrer le cinéma en train de se faire, c'est la garantie d'une authenticité plus forte que le cinéma lui-même. Comme si le dispositif comptait tout autant que le résultat, qu'il fallait, non pas montrer le champ et le hors champ, mais l'image et la fabrique de l'image. Comme si le cinéma n'était qu'une illusion, et qu'en montrant le cinéma en train de se faire, on pouvait espérer devancer l'illusion... Dans un de ses rêves de 1980, Fellini avouait, face à la projection de l'image d'une femme : "Ces images sont plus vraies que la vérité elle-même !". Retour sur la fabrique et la circulation des images selon Fellini. Thu, 29 Oct 2009 00:00:00 +0000 95:47 http://www.cinematheque.fr/